Godoy Cruz représente, waich !
Buongiorno tutti !
Par ici, la routine mendocina s'installe gentiment : on se lève généralement vers 13h30, on déjeune légèrement à coup de boeuf ou de poulet, glandouille rituelle pendant les heures de sieste (14h-18h, faut pas pousser), puis exploration de la ville, balade, etc... Hier soir, soirée poulet rôti géant (2,2 kilos, oui monsieur) avec Charlotte, compatriote en stage à Mendoza, et son copain Alain, ma foi fort sympatoche. Ce soir, c'est plus calme vu qu'on est un peu fatigués. Hier après-midi, notre recherche de déco moins kitsch s'est avérée être un échec total : deux heures à déambuler dans les rues du centre sans trouver le moindre magasin de posters ou de tentures (pour planquer l'armoire à souvenirs de feu la maman de Rodolfo). Le bide complet.
En plus de ces quelques nouvelles (maigres certes, mais que voulez-vous, on fout rien, on fout rien !), voici en exclusivité des photos de notre quartier, Godoy Cruz, alias le ghetto mendocino. A noter, le nom de notre rue, Juan B. Justo, et le prix ultra concurrentiel de l'asado (gros boeuf de brute). Ciao ciao...
Par ici, la routine mendocina s'installe gentiment : on se lève généralement vers 13h30, on déjeune légèrement à coup de boeuf ou de poulet, glandouille rituelle pendant les heures de sieste (14h-18h, faut pas pousser), puis exploration de la ville, balade, etc... Hier soir, soirée poulet rôti géant (2,2 kilos, oui monsieur) avec Charlotte, compatriote en stage à Mendoza, et son copain Alain, ma foi fort sympatoche. Ce soir, c'est plus calme vu qu'on est un peu fatigués. Hier après-midi, notre recherche de déco moins kitsch s'est avérée être un échec total : deux heures à déambuler dans les rues du centre sans trouver le moindre magasin de posters ou de tentures (pour planquer l'armoire à souvenirs de feu la maman de Rodolfo). Le bide complet.
En plus de ces quelques nouvelles (maigres certes, mais que voulez-vous, on fout rien, on fout rien !), voici en exclusivité des photos de notre quartier, Godoy Cruz, alias le ghetto mendocino. A noter, le nom de notre rue, Juan B. Justo, et le prix ultra concurrentiel de l'asado (gros boeuf de brute). Ciao ciao...