"Those who feel it know it" - Robert N. Marley
Fidèles lecteurs, bonsoir. D'abord je tiens à remercier les gens qui, ces derniers temps, ont pris le temps de me dire que ce blog les faisait sourire, ça fait carrément plaisir ! Je pensais pas ces articles franchiraient la frontière du cercle de proches à qui ils étaient destinés au départ, mais tant mieux. En tout cas, merci ! Sinon, voilà quelques nouvelles éparses de la "terre du bon vin et du soleil", dixit la calebasse à maté d'une collègue de cours.
Je me suis pris d'une nouvelle passion destinée à contrebalancer des habitudes alimentaires qui feraient se dresser les cheveux de n'importe quel nutritionniste un peu sérieux : je mange des avocats ! Je ne savais pas que j'aimais ces trucs jusqu'à ce que Simon en achète l'autre jour, mais j'ai goûté et je dois avouer que c'est très bon ! Un minimum de préparation (huile d'olive, vinaigre et sel) pour un plaisir complet : je suis avocat-addict. Voilà de quoi ralentir l'arrivée de taux de cholestérol catastrophiques (quoique, je ne sais pas si le boeuf en donne beaucoup).
Premier incident à moto : rien de grave, rassurez-vous, seulement une petite confusion du camarade Simon sur l'accélérateur et le frein au moment de la garer à la fac, et la moto est allée s'encastrer dans une rangée de buissons qui n'avaient pourtant rien fait de mal. A sa décharge, c'était tôt le matin, et il faisait froid (vous remarquerez que malgré ces conditions goulaguesques, nous sommes allés à la fac quand même). Bref, rien de cassé pour nous, par contre la moto a été irrémédiablement amputée de son garde-boue avant. Mais comme le printemps approche à grand pas, et qu'il pleut de toutes façons très peu à Mendoza même en hiver, ça ne devrait pas trop nous emmerder. Non, en fait, cette moto est très bien partie pour être l'acquisition de l'année : il faut nous voir dévaler le Paso de los Andes à 230 km/h, semant la terreur et l'admiration sur notre passage, portant notre pantalon de moto et notre blouson de cuir noir avec un aigle sur le dos ! Non, j'exagère un peu, mais c'est vraiment très pratique, que ce soit pour la fac, les courses, etc. Je m'entraîne de temps en temps sur des petits trajets, je crois que j'aime vraiment bien les deux-roues.
A part ça, tout va bien par chez nous. On a fait une petite fête à la maison hier soir, bien sympatoche mais peuplée d'un peu trop de français pour mériter le label "soirée locale" (bien que les français en question soient des gens formidables). Couchés vers 4h, tout va bien, réveil à seulement 14h, encore mieux. Plein de projets pour les jours et semaines qui viennent : asado mardi dans la maison du bonheur (où des copains vivent à 16), accueillir Sophie (rennaise expatriée à Concepcion, Chili), aller un jour à la Vallée de la Lune (sorte de désert de l'Atacama en argentin), et puis d'ici un peu plus longtemps, une chouette vidéo surprise pour tous ceux qui ont aimé la première (les idées fusent déjà).
Je vous fais des gros bisoux à toutes et tous, et je vous laisse comme promis avec un petit assortiment de photos, incluant les deux éléments incontournables de ma vie mendocina : le maté et la moto !
Je me suis pris d'une nouvelle passion destinée à contrebalancer des habitudes alimentaires qui feraient se dresser les cheveux de n'importe quel nutritionniste un peu sérieux : je mange des avocats ! Je ne savais pas que j'aimais ces trucs jusqu'à ce que Simon en achète l'autre jour, mais j'ai goûté et je dois avouer que c'est très bon ! Un minimum de préparation (huile d'olive, vinaigre et sel) pour un plaisir complet : je suis avocat-addict. Voilà de quoi ralentir l'arrivée de taux de cholestérol catastrophiques (quoique, je ne sais pas si le boeuf en donne beaucoup).
Premier incident à moto : rien de grave, rassurez-vous, seulement une petite confusion du camarade Simon sur l'accélérateur et le frein au moment de la garer à la fac, et la moto est allée s'encastrer dans une rangée de buissons qui n'avaient pourtant rien fait de mal. A sa décharge, c'était tôt le matin, et il faisait froid (vous remarquerez que malgré ces conditions goulaguesques, nous sommes allés à la fac quand même). Bref, rien de cassé pour nous, par contre la moto a été irrémédiablement amputée de son garde-boue avant. Mais comme le printemps approche à grand pas, et qu'il pleut de toutes façons très peu à Mendoza même en hiver, ça ne devrait pas trop nous emmerder. Non, en fait, cette moto est très bien partie pour être l'acquisition de l'année : il faut nous voir dévaler le Paso de los Andes à 230 km/h, semant la terreur et l'admiration sur notre passage, portant notre pantalon de moto et notre blouson de cuir noir avec un aigle sur le dos ! Non, j'exagère un peu, mais c'est vraiment très pratique, que ce soit pour la fac, les courses, etc. Je m'entraîne de temps en temps sur des petits trajets, je crois que j'aime vraiment bien les deux-roues.
A part ça, tout va bien par chez nous. On a fait une petite fête à la maison hier soir, bien sympatoche mais peuplée d'un peu trop de français pour mériter le label "soirée locale" (bien que les français en question soient des gens formidables). Couchés vers 4h, tout va bien, réveil à seulement 14h, encore mieux. Plein de projets pour les jours et semaines qui viennent : asado mardi dans la maison du bonheur (où des copains vivent à 16), accueillir Sophie (rennaise expatriée à Concepcion, Chili), aller un jour à la Vallée de la Lune (sorte de désert de l'Atacama en argentin), et puis d'ici un peu plus longtemps, une chouette vidéo surprise pour tous ceux qui ont aimé la première (les idées fusent déjà).
Je vous fais des gros bisoux à toutes et tous, et je vous laisse comme promis avec un petit assortiment de photos, incluant les deux éléments incontournables de ma vie mendocina : le maté et la moto !